Jarno Septante-Sept

Bad news, la firme de Redmond vient tout juste de lancer une nouvelle mise à jour pour les Insiders sous Windows 10, la build 19045.4353 qui à première vue n’a rien de bien folichon… Mais si on y regarde de plus près, y’a quand même un truc qui risque de vous faire tiquer : Une bannière dans les Paramètres pour vous pousser à abandonner votre bon vieux compte local et passer à un compte Microsoft.

On se demande bien pourquoi Microsoft tient tant à ce qu’on ait tous un compte chez eux sur nos machines. Bon ok, je suppose que c’est lié à toutes leurs fonctionnalités en ligne, genre la synchro des paramètres, les sauvegardes dans le cloud, la gestion simplifiée des abonnements, tout ça mais bon, ça devient un peu pushy je trouve. On dirait presque une incitation à passer sous Linux ^^.

Cette guéguerre de Microsoft contre les comptes locaux sous Windows, ça gave tout le monde, même Elon Musk qui a pété un câble en découvrant qu’il pouvait pas installer Windows 11 sans compte Microsoft. La chance qu’on a sous Windows 10, c’est qu’on peut encore contourner ce forcing sans trop se prendre la tête lors de l’installation initiale mais sous Windows 11 par contre, c’est une autre paire de manches… Impossible d’utiliser un profil local, sauf si vous connaissez l’astuce à base de oobe\bypassnro.

Pour l’instant, ce changement se déploie progressivement, donc vous n’aurez peut-être pas tous droit à ce joli cadeau. Mais si vous voulez voir cette bannière par vous-même, pas de souci… il vous suffit de télécharger l’outil ViVeTool, ouvrez une invite de commande en mode administrateur, et hop, un petit

vivetool /enable /id:42563876

et le tour est joué. (et c’est /disable pour le désactiver)

Par contre, une fois que ce sera en place, pour mettre hors de vue ces satanées bannières, faudra aller dans Paramètres > Confidentialité > Général et décocher l’option « Afficher le contenu suggéré dans l’application Paramètres« . Ou alors, un bon vieux clic sur la croix à côté du bouton « Se connecter maintenant« , et basta.

Alors on migre ou pas ?

D’un côté, ça facilite pas mal de trucs d’avoir un compte Microsoft, surtout avec tous leurs machins à base d’IA qui vont arriver, mais de l’autre, j’aime bien garder un minimum de contrôle sur mes données et ma vie privée. Certains d’entre vous préfèrent d’ailleurs surement garder leurs infos perso pour eux, et ne pas se créer de compte Microsoft ce qui est bien légitime comme préoccupation.

J’ai juste peur qu’à un moment, cette incitation risque à un moment de se transformer en obligation… On verra bien.

Source

Vous en avez marre de devoir garder une vieille bécane sous Windows juste pour faire tourner ce vieux logiciel qui ne marche que sous XP ? Ou alors vous aimeriez bien tester la dernière version de Windows 11 mais vous n’avez pas envie de vous embêter à l’installer sur une vraie machine ? Dans les deux cas, j’ai la solution qu’il vous faut !

Grâce au projet open-source Windows dans un conteneur Docker, vous allez pouvoir faire tourner n’importe quelle version de Windows directement dans Docker, le tout avec une accélération KVM et même un affichage dans votre navigateur web si besoin.

Pour faire simple, il vous suffit de récupérer l’image Docker dockurr/windows, de la démarrer avec quelques options bien choisies, puis de vous connecter sur le port 8006 avec votre navigateur. Et là, magie, l’installation de Windows va se lancer automatiquement ! Vous n’avez plus qu’à vous détendre le temps que ça se termine. Une fois sur le bureau, votre installation de Windows est prête à l’emploi. Vous pouvez commencer à bricoler dessus comme sur une vraie machine. Le pied !

Par défaut c’est Windows 11 qui sera installé, mais vous pouvez très facilement choisir une autre version en passant la variable d’environnement VERSION dans votre fichier docker-compose.yml. Vous avez l’embarras du choix :

• win11 : Windows 11 Pro
• win10 : Windows 10 Pro
• ltsc10 : Windows 10 LTSC
• win81 : Windows 8.1 Pro
• win7 : Windows 7 SP1
• vista : Windows Vista SP2 (pour les nostalgiques)
• winxp : Windows XP SP3 (carrément old-school)
• 2022 : Windows Server 2022
• 2019 : Windows Server 2019
• 2016 : Windows Server 2016
• etc…

Et si vous voulez pousser encore plus loin, sachez qu’il est même possible d’installer une version allégée de Windows comme Tiny11 ! Pour ça, il vous suffit de passer la valeur tiny11 à la variable VERSION. Idéal pour avoir un Windows léger qui tourne comme une horloge dans un conteneur.

Ça se lance via Docker Compose :

version: "3"
services:
  windows:
    container_name: windows
    image: dockurr/windows-arm
    devices:
      - /dev/kvm
    cap_add:
      - NET_ADMIN
    ports:
      - 8006:8006
      - 3389:3389/tcp
      - 3389:3389/udp
    stop_grace_period: 2m
    restart: on-failure

Ou directement comme ceci :

docker run -it --rm --name windows -p 8006:8006 --device=/dev/kvm --cap-add NET_ADMIN --stop-timeout 120 dockurr/windows

Bon par contre, le viewer VNC accessible dans le navigateur c’est surtout pratique pendant l’installation. Pour une utilisation plus sérieuse, mieux vaut utiliser un vrai client RDP en se connectant sur l’IP du conteneur Docker avec l’utilisateur docker. Il y a de très bons clients RDP dispos, que ce soit pour Android, iOS, Linux (rdesktop) ou même Windows où c’est carrément intégré à l’OS.

Évidemment, ne vous attendez pas à des miracles niveau performances, on parle d’un Windows qui tourne dans un conteneur Docker quand même ^^. D’ailleurs par défaut le conteneur a le droit à seulement 2 cœurs de CPU et 4 Go de RAM, ce qui correspond à la config minimale requise par Windows 11. Mais ça reste largement suffisant pour faire des tests ou utiliser des vieux logiciels.

Si jamais vous avez besoin de plus de ressources, vous pouvez augmenter ça facilement en ajoutant les variables d’environnement RAM_SIZE et CPU_CORES dans votre docker-compose.yml. Pareil si vous voulez augmenter la taille du disque virtuel qui fait 64 Go par défaut, c’est possible en passant l’option DISK_SIZE. Par exemple pour avoir un disque de 256 Go :

environment:
DISK_SIZE: "256G"

Enfin, si vous voulez bidouiller plus en profondeur, sachez qu’on peut même passer des périphériques entiers (disques, clés USB…) au conteneur pour que Windows puisse y accéder directement. Je vais pas m’étendre plus, je vous laisse aller consulter la doc.

Bref, vous l’aurez compris, ce projet est une petite merveille pour tous ceux qui ont besoin de faire tourner Windows dans un environnement isolé et facile à mettre en place. Que ce soit pour tester une appli, monter un labo ou même utiliser un logiciel qui ne tourne que sous Windows, ça peut dépanner dans plein de situations.

Et le meilleur dans tout ça ?

C’est que le projet ne contient que du code open-source et n’embarque aucun élément propriétaire. Les clés de licence utilisées dans le projet sont celles fournies par Microsoft à des fins de test. Donc a priori, c’est totalement légal. Après c’est sûr, faudra pas venir se plaindre si Microsoft n’est pas content qu’on fasse tourner Windows dans un conteneur Docker… 😀

Merci à Lorenper

Ah, les années 90 ! Qu’est-ce que c’était cool quand même ! Chaque nouveau jeu qui sortait, c’était une révolution et c’est d’ailleurs cette époque a donné naissance à de nombreux classiques, dont l’un des plus célèbres jeux de course futuristes : wipEout, sorti en 1995 sur PlayStation 1.

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe une réimplémentation de ce jeu génial nommée wipEout Rewrite. Grâce au code source d’origine divulgué en 2022, le dev à l’origine de cette réécriture a réussi à adapter le jeu pour qu’il fonctionne sur les plateformes SDL2 et Sokol, avec une prise en charge des contrôleurs de jeu. Cette réécriture est disponible pour Linux et divers systèmes d’exploitation Unix, notamment FreeBSD, OpenBSD et bien sûr macOS.

Pour Windows c’est possible, mais un peu plus complexe à compiler. Le mieux reste donc encore de tester ce jeu mythique directement en ligne en cliquant ici. Les touches sont X pour accélérer, Z pour tirer, C/V pour freiner et A pour changer de vue.

Au-delà de la simple réécriture, le développeur a également ajouté des améliorations et des fonctionnalités non implémentées dans le jeu original. Parmi elles figurent des améliorations dans les collisions, l’éclairage et le champ de vision.

Malgré le fait discutable que wipEout Rewrite existe grâce à un vol de code source, cette réécriture nous offre un aperçu fascinant du développement de jeux vidéo dans les années 90. Les développeurs originaux ont dû surmonter de nombreux défis liés au matériel et à la 3D. Par exemple, la gestion du rendu dans wipEout était basée sur une bibliothèque appelée LIBGPU, qui gérait les calculs de perspective sur un coprocesseur de la PSX. Pour réussir cette réécriture en 2023, il a fallu non seulement comprendre comment fonctionnait LIBGPU, mais aussi la réimplémenter pour les plateformes modernes.

Bref, dans l’ensemble, le projet wipEout Rewrite est un excellent exemple de ce qui est possible avec un peu de passion et de détermination. Si ça vous branche de jeter un oeil aux sources ou tout simplement de jouer au jeu, c’est sur Github que ça se passe.

Ah et dans le même esprit, il existe également WipeOut Phantom.

Afin de rendre l’IA accessible à tous, y compris gratuitement puisque la plupart des modèles fonctionnent sur un système open source, une équipe de développeurs talentueux a créé Jan un outil pour les développeurs et les utilisateurs souhaitant profite d’une alternative à ChatGPT, totalement indépendante, fonctionnant hors ligne, open source et libre.

Il faut donc voir Jan comme un client de chat qui permet de télécharger des modèles comme Trinity, Mistral, Llama, OpenChat…etc. et de les faire tourner 100% hors ligne. Comme ça, pas de fuite de conversations privées ni de réutilisation de vos données pour entrainer de nouvelles IA. Et si comme moi, vous êtes accro à l’IA d’OpenAI, vous pourrez toujours y ajouter votre clé API et discuter avec ChatGPT (au tarif fixé par OpenAI évidemment).

Jan fonctionne sous Linux (Appimage et .deb dispo), sous Windows et macOS (Intel / Silicon) et propose une prise en charge des modèles open source tels que GGUF via llama.cpp, TensorRT via TensorRT-LLM ou des API externes. Jan utilise également le moteur d’inférence Nitro, des mêmes développeurs, qui se veut être rapide et léger.

Je teste ici le modèle Trinity 1.2 7B Q4 :

Et ici un modèle spécialisé en code Python nommé Wizard Coder Python 13B Q5.

Un truc cool avec Jan c’est que toutes les conversations sont conservées sur votre disque au format JSON, donc si le coeur vous en dit, vous pourrez ensuite les exploiter comme bon vous semble dans vos outils.

Jan propose également un serveur REST qui permet d’interroger via une API compatible OpenAI n’importe quel modèle que vous y feriez tourner. Ça permet de brancher vos outils ou vos scripts directement sur le LLM ouvert de votre choix.

Dans la lignée de Ollama ou LM Studio, Jan rempli ses promesses et vous permettra de vous éclater avec l’IA (abus de langage, je sais…) sans mettre en péril vos données personnelles.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de Jan ou sur leur page Github pour les sources et la doc.

Merci à Lorenper

L’ancien Gestionnaire des taches est toujours disponible sous Windows 11. Voici la méthode pour le lancer et créer un raccourci sur le bureau

Cet article Windows 11, comment lancer le Gestionnaire des tâches classique ? a été publié en premier par GinjFo.

format c:

Nous vous proposons un guide pour « nettoyer » Windows 11, dans lequel nous abordons plusieurs manières d’envisager cette opération. Certaines manipulations sont très simples et demandent simplement que l’on y consacre un peu de temps. D’autres sont plus radicales, en fonction de l’ampleur des travaux.

On entend souvent parler de « nettoyage de Windows ». Que veut-on dire par là ? L’expression recouvre plusieurs possibilités, dont deux principales. Il peut s’agir d’un encrassement classique du système avec le temps, les installations et désinstallations de logiciels et de pilotes, les tests, les éventuelles versions bêta et autres. Ou alors, d’un constat agacé sur l’état du système « neuf », qui contient beaucoup trop d’éléments non souhaités.

Nous allons commencer par ce deuxième cas, en commençant par le plus simple : un système raisonnablement entretenu, dans lequel on veut simplement passer un coup de balai.

Désinstaller les applications intégrées

Windows 11 a la très fâcheuse manie d’installer de nombreuses applications. La majorité proviennent de Microsoft, comme Bloc-Notes et Paint. D’autres sont le résultat d’accords de sponsorisation avec des partenaires. La très grande majorité de ces applications peuvent être désinstallées. Ce travail avait commencé avec Windows 10, s’est poursuivi avec Windows 11 et continue souvent avec ses mises à jour majeures. Récemment, la liste des applications et composants désinstallables s’est enrichie sous l’influence de l’Europe et de son DMA. L’opération peut se faire de deux manières : clic droit sur l’élément dans le menu Démarrer puis Désinstaller, ou en passant par Paramètres > Applications > Applications installées.

Des dizaines d'applications

Voici la longue liste complète des applications et composants (prenant en compte la version 23H2 du système et les modifications apportées pour l’Europe) que l’on peut supprimer sur un système neuf ou dont cet aspect n’a pas été encore modifié :

• • Actualités

• • Alarmes et horloge

• • Assistance rapide

• • Bloc-notes

• • Calculatrice

• • Caméra

• • Cartes

• • Clipchamp

• • Connexion Bureau à distance

• • Contacts

• • Cortana (si encore là)

• • Courrier et calendrier

• • Enregistreur vocal

• • Films et TV

• • Hub de commentaires

• • Lecteur multimédia

• • Météo

• • Microsoft Edge

• • Microsoft Teams

• • Microsoft To Do

• • Office

• • OneDrive

• • Outil Capture d’écran

• • Outlook (new)

• • Paint

• • Pense-bêtes

• • Photos

• • Power Automate

• • Solitaire Collection

• • Terminal

• • Xbox

• • Xbox Live

La plupart des utilisateurs laissent la configuration par défaut. Mais si vous lisez ce guide, c’est probablement que vous préférez l’idée d’un système répondant à des besoins précis, avec les économies en espace disque et la réduction de surface d’attaque que cela suppose. À titre de référence, sur une configuration nouvelle installée et par défaut, la désinstallation de tous ces éléments a permis de récupérer 2,1 Go.

Même ainsi, il reste quelques éléments que l’on ne peut pas supprimer, comme le Power Automate lié à Dev Home, ou encore l’application Prise en main. D’autres sont liées à des partenariats et ne sont affichées dans le menu Démarrer que sous forme de raccourcis. On peut les supprimer via un clic droit. Notez qu’en cas de regret sur la désinstallation d’une ou plusieurs applications intégrées, la quasi-totalité d’entre elles sont présentes sur le Microsoft Store. Attention également si vous supprimez Edge tout de suite. Certains navigateurs, comme Firefox et Opera, sont présents sur le Store, mais pas Chrome par exemple. Pensez à l’installer avant de faire le ménage.

Envie de tout recommencer ? Place au formatage

Le formatage a été pendant longtemps l’option reine pour les personnes souhaitant tout reprendre à zéro. Jusqu’à Windows 7 particulièrement, le système avait la fâcheuse habitude de s’encrasser avec le temps. Formater permettait alors de repartir sur des bases neuves, et surtout plus rapides. Bien que Microsoft ait introduit de nombreux changements pour limiter ce phénomène – avec un certain succès d’ailleurs – l’installation proprement dite n’a que très peu changé depuis Vista. C’est un problème, que nous avons souligné plusieurs fois : le processus ne laisse aucun choix dans ce que l’on souhaite installer. Windows est comme un seul bloc, avec toutes ses applications, y compris celles des partenaires commerciaux. Réinstaller Windows 11 se fait simplement. L’image ISO peut se récupérer gratuitement depuis le site officiel. Nous vous recommandons de télécharger la petite application permettant de créer un support d’installation. Une clé USB d’au moins 8 Go est fortement recommandée, même si l’on peut graver un support optique. Après quoi, il faut s’assurer dans le BIOS/UEFI de la machine que le démarrage se fera bien sur le support amovible et suivre les étapes. Nous publierons prochainement un article sur l’utilitaire Rufus, qui permet une sélection bien plus fine des possibilités.

Créer un simple compte local

Il y aura ensuite une phase de configuration après le redémarrage de l’ordinateur. L’une des premières questions demandée sera de vous connecter. Si vous ne souhaitez pas lier votre compte Microsoft au compte local, cette étape peut être sautée avec une manipulation assez simple. Quand vous arrivez dans cette phrase (qui débute avec le choix de la langue), coupez la connexion Internet (débranchez le câble Ethernet par exemple). Quand l’assistant demande à se connecter à Internet, faites Maj + F10 puis entrez la commande : OOBE\BYPASSNRO. Le PC redémarre alors et recommence l’assistant. Mais cette fois, vous pourrez indiquer que vous n’avez pas Internet et créer un simple compte local.

Précisons plusieurs points. Il vous sera demandé de créer un mot de passe et de répondre à trois questions de sécurité. Cette étape est obligatoire. Avec un compte connecté, un code PIN suffit (minimum quatre chiffres). En outre, le compte Microsoft stocke la licence de Windows. S’il s’agit d’une réinstallation, il faudra pouvoir entrer la clé de produit, que ce soit pendant l’installation ou après. Si vous avez lié votre compte Microsoft, l’activation du système sera automatique.

Quelques conseils sur la suite de la configuration

Dans l’optique de rester sur un système le plus « propre » possible, nous vous recommandons de répondre « Non » à toutes les questions qui vous seront posées et ayant trait à la vie privée (rien n’est sélectionné par défaut). Dans le cas de la télémétrie, et toujours dans la même philosophie, ne gardez que les données obligatoires. Microsoft en profitera pour proposer de s’abonner à son offre 365 ainsi qu’au Xbox Game Pass. Là encore, on passera, sauf si bien sûr l’un de ces éléments vous intéresse. Windows 11 va également demander, en cas de connexion Internet active, de configurer la machine pour une utilisation spécifique, par exemple le développement. Certaines applications seront alors privilégiées, installées et épinglées dans le menu Démarrer ou la barre des tâches. Vous n’aurez pas la main sur les opérations effectuées. Il est recommandé d’ignorer cette étape pour effectuer les changements soi-même.

Après quoi, la machine va se lancer dans une dernière étape de configuration automatique, laissant ensuite place au bureau. Comme indiqué, l’installation vient avec l’ensemble des applications intégrées. Après être allé faire un tour dans Windows Update pour installer toutes les mises à jour en attente (potentiellement nombreuses, cette étape peut prendre du temps en fonction des performances du matériel), il faudra donc se pencher sur cette liste et supprimer tout ce qui ne vous intéresse pas. Cette partie sur le formatage est particulièrement intéressante sur les ordinateurs de grandes marques, surtout les portables. Ces machines sont souvent vendues avec un grand nombre d’applications préinstallées, qu’elles soient maison ou provenant des partenaires. Après s’être assuré de la disponibilité des pilotes, une réinstallation avec un Windows « normal » peut faire une grande différence en matière de performances et de ressenti.

La réinitialisation comme alternative

Avant de passer au formatage, il y a peut-être une solution : la réinitialisation. Elle permet une remise à zéro de Windows 11, sans passer par une réinstallation complète. Il s’agit en quelque sorte d’un retour aux paramètres d’usine que l’on trouve sur les smartphones et tablettes. Rendez-vous dans Paramètres > Système > Récupération puis cliquer sur Réinitialiser ce PC. Il vous sera demandé si vous souhaitez garder vos documents. Après quoi, l’opération débutera. Elle peut prendre un bon moment, selon les performances de votre PC. Le système se retrouvera alors dans le même état qu’après une installation. Une solution efficace, à moins que vous souhaitiez changer de version de Windows, par exemple si vous testiez les canaux de développement du programme Insider.

Depuis la récente mise à jour 23H2, un autre type d’opération est possible : « Résoudre les problèmes à l’aide de Windows Update ». À la différence de la réinitialisation, Windows 11 va se réinstaller en préservant les applications, fichiers et paramètres. Ce peut être une bonne solution en cas de problèmes divers, avant une approche plus radicale.

Réduire les suggestions et distractions

Windows 11 a la très fâcheuse habitude d’intégrer un nombre croissant de services et va même jusqu’à insérer des publicités pour en faire la promotion, quand il s’agit de produits payants. Sur un système à jour (en version 23H2), il suffit d’ouvrir les Paramètres pour s’en apercevoir. Vous aurez une publicité pour Microsoft Copilot Professionnel et, si vous n’êtes pas déjà abonné, Microsoft 365. Vous pouvez, par exemple, configurer la barre des tâches pour rebasculer les icônes à gauche (celles épinglées auront l’avantage de toujours avoir une position fixe), enlever le champ de recherche (ou le réduire à une simple icône), le bouton vers les widgets, la version intégrée de Teams, la vue multitâche ou – bien que la France ne soit pas encore concernée – le bouton Copilot. En matière de respect de la vie privée, certains réglages sont également à changer. Dans Paramètres > Confidentialité et sécurité > Général, on peut couper quatre options liées à la collecte de données et à la suggestion de contenus. L’une d’elles concerne d’ailleurs les contenus affichés dans Paramètres. Dans notre cas, cela n’a pas supprimé la publicité pour Copilot Professionnel.

Retour à Confidentialité et sécurité, avec le paramètre « Fréquence des commentaires », que l’on peut régler sur « Jamais ». Windows ne vous demandera plus votre avis sur ses fonctions. Dans ce même panneau, vous pourrez vérifier (en haut) que les données de diagnostic facultatives sont bien désactivées. Si ces options sont simples à découvrir, d’autres sont mieux cachées. Par exemple, dans Paramètres > Système > Notifications, allez tout en bas de la liste. Dans « Paramètres supplémentaires », vous trouverez trois options liées à des conseils, suggestions et autres messages que vous ne souhaitez peut-être pas avoir.

Faire le ménage sur le disque

Dans ce domaine, les solutions sont nombreuses. La première manipulation à faire est de chercher l’application « Nettoyage de disque » en l’écrivant après avoir ouvert le menu Démarrer. Dans la fenêtre qui s’ouvre, on pourra choisir le disque à analyser. Après quoi, une liste de résultats sera affichée, avec le gain d’espace potentiel à chaque ligne. On retrouve ainsi des « scories » comme les fichiers journaux des mises à jour Windows, les fichiers internet temporaires, le cache de nuanceur DirectX, les fichiers d’optimisation de livraison ou encore la Corbeille et le cache des miniatures. La production de ces données est « normale » dans le cadre de l’utilisation d’un système, mais si vous avez besoin d’espace libre, c’est un bon moyen de commencer par là.

On peut pousser plus loin en cliquant, en bas à gauche, sur « Nettoyer les fichiers système ». L’application relance une analyse (plus longue) et affiche une liste plus touffue de résultats. On apprécie d’ailleurs la très vieille interface qui ne permet même pas d’agrandir la fenêtre. S’ajoutent alors les précédentes installations de Windows et d’autres données. Ce sont potentiellement des dizaines de Go que l’on peut ainsi récupérer par ce biais. Attention cependant car, dans certains cas, la suppression de ces données peut avoir des conséquences. Par exemple, tout ce qui touche aux rapports d’erreurs, fichiers de vidage mémoire d’erreurs système et aux journaux empêchera le signalement des problèmes ou d’être tenu au courant s’ils ont déjà été remontés à Microsoft. Si vous cochez toutes les cases, les données stockées dans le presse-papier seront également supprimées.

Vitaminer le nettoyage automatique de Windows

Notez que Windows 11 procède de lui-même à un nettoyage régulier. Mais, par défaut, cette opération n’intervient que lorsque l’espace vient à manquer. Allez dans Paramètres > Système > Stockage > Assistant Stockage.

Si vous souhaitez un traitement plus proactif, changez pour le cycle qui vous intéresse dans la première liste déroulante (tous les jours, chaque semaine ou chaque mois). C’est aussi un peu plus bas que vous trouverez les réglages concernant le comportement de la Corbeille et du dossier Téléchargements. Dans la section Stockage, on trouvera également les « Recommandations de nettoyage », qui mettent en avant certains éléments courants à purger quand ils atteignent une grande taille, comme la Corbeille et les précédentes installations de Windows.

Un coup de balai dans les applications au démarrage

Nous vous recommandons également d’aller de temps en temps faire un tour dans le Gestionnaire des tâches, auquel on peut accéder par un clic droit sur la barre des tâches. Dans la barre latérale, cliquez sur « Applications de démarrage » et faites le ménage dans tout ce qui vous semble inutile.

Un grand nombre d’applications installent un module au démarrage de Windows pour se lancer plus vite. Si vous les utilisez rarement ou qu’elles concernent des prestations qui ne vous intéressent pas, leur désactivation permettra au bureau de se charger plus vite. En prime, de petits gains sur la consommation de mémoire.

Le cas des outils tiers

Windows oblige, il existe des applications pour à peu près tout. La catégorie système n’y échappe pas. Il en existe de très connus, comme CCleaner (Crap Cleaner), mais il faudra toujours garder en mémoire que leur « pouvoir » est grand et doit être utilisé avec précaution. Dans le cas de CCleaner notamment, toucher au registre, même avec de bonnes intentions, peut avoir des conséquences.

CCleaner vaut au moins le coup pour sa partie « Nettoyage personnalisé », qui permet de brasser de manière beaucoup plus large les fichiers laissés par l’utilisation, y compris des navigateurs. Les réglages par défaut permettent de trouver les fichiers principaux et de faire déjà un bon ménage. On peut cliquer sur des cases supplémentaires, notamment dans Système, mais l’application aura le bon goût d’avertir à chaque fois ce qui pourrait moins bien fonctionner, voire ne plus fonctionner. Parfois, le PC peut contenir des fichiers volumineux n’ayant aucun lien avec le système. Dans ce cas, un outil peut être précieux pour les trouver, comme TreeSize, qui possède une version gratuite. Après analyse du disque, on obtient rapidement une liste des dossiers, la taille pour chaque dossier, et ainsi de suite, le tout classé par ordre décroissant d’espace alloué. S’agissant d’un outil consultatif, il n’a pas d’action directe sur le système.

On pourrait citer encore de nombreux outils dans ce domaine. N’hésitez d’ailleurs pas à le faire dans nos commentaires. Ils ont pour la plupart en commun de devoir être utilisés avec précaution, même quand leur interface simple invite à la confiance. Les modifications du système ne sont pas toutes anodines, loin de là.

Si comme moi, vous adorez souiller les conditions générales des services de Gougleu, Twitter ou encore TikTok alors vous allez kiffer Cobalt.

Il s’agit d’un service en ligne super minimaliste qui permet de récupérer à partir d’un simple lien, au choix, la vidéo ou l’audio. Pratique pour ensuite bidouiller la vidéo d’origine ou se faire un petit MP3.

Avec son bouton « auto », vous laissez Cobalt choisir le meilleur pour vous, ou alors prenez le contrôle et ajustez les réglages comme un vrai chef.

L’interface est très simple et il n’y a pas grand chose mais si vous allez dans les paramètres (Settings), vous verrez qu’il est possible de préciser la qualité à récupérer ainsi que le format de la vidéo (h264, av1, vp9), mais également de retirer les watermarks des vidéos TikTok ou de convertir les vidéos Twitter en .gif. Fini les filigranes agaçants et bonjour les boucles parfaites pour vos memes et partages.

Vous avez même la possibilité de choisir entre le téléchargement progressif, qui utilise directement le CDN de Vimeo pour une qualité max de 1080p, ou l’option « dash », qui combine vidéo et audio en un seul fichier pour une qualité max de 4K. Le choix est royal : du 360p pour les connexions qui rament aux splendeurs du 8K pour les mirettes exigeantes.

Bref, c’est que du bonheur ! A mettre dans vos bookmarks de toute urgence.

Merci à Lorenper

The 9to5Linux Weekly Roundup for March 17th, 2024, brings news about a new Raspberry Pi OS release, GNU Linux-libre 6.8 kernel, OBS Studio 30.1, KDE Plasma 6.0.2, KaOS 2024.03, digiKam 8.3, Linux kernel 6.8 on Ubuntu, and more.

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Hé les amis, aujourd’hui laissez-moi vous présenter un outil génial qui vous facilitera la vie en vous permettant de télécharger des vidéos et d’extraire des pistes audios de différents formats à partir de centaines de sites, dont, YouTube, Facebook, Tiktok, Twitch, Twitter, Instagram et bien d’autres…

Cet outil s’appelle ytDownloader et vous l’aurez compris, c’est YoutubeDL derrière sauf que là, y’a une interface minimaliste facile à prendre en main. L’outil est bien sûr entièrement gratuit et Open Source.

Disponible sous Linux, Windows et macOS, cet utilitaire dispose de nombreuses fonctionnalités comme un mode clair/sombre, la possibilité de choisir un thème pour pas flinguer vos petits yeux, ainsi que la possibilité de télécharger une plage spécifique d’une vidéo si vous le souhaitez, ce qui est pratique pour extraire un morceau précis. Vous pouvez évidemment, après avoir entré l’URL de votre vidéo, choisir le format et la qualité de la vidéo et de l’audio que vous voulez récupérer, ce qui est super pratique pour faire par exemple des MP3 à partir de clips vidéos.

Cet outil prend également en charge le téléchargement des sous-titres et est disponible en plusieurs langues. Vous pouvez bien sûr configurer l’emplacement où enregistrer vos fichiers récupérés et il n’y a ni pubs ni traqueur dans l’application.

Pour résumer, ytDownloader est un outil super utile pour tous ceux qui ont besoin de récupérer des vidéos et/ou extraire des audios de différents formats à partir de différents sites. Je vous le conseille !

Rendez-vous sur leur site pour télécharger ytDownloader.

Merci à Lorenper pour le partage.

Si vous êtes sous Linux et que vous cherchez un moyen simple de convertir de l’audio ou de la vidéo dans d’autres formats, sans apprendre à utiliser FFMPEG ou Handbrake, je vous présente FormatLab.

Il s’agit d’un logiciel puissant, mais hyper simple à utiliser qui s’installe très facilement via Snap ou Flatpak :

flatpak install flathub com.warlordsoftwares.formatlab

snap install formatlab

Et qui une fois lancé, supporte quasiment tous les formats et les codecs tels que le mp4, mov, wmv, avi, flv, f4v, mkv, webm, mpeg, m2ts, mpg, asf, swf, etc. Et pour l’audio, le mp3, m4a, wav, wma, aac, ogg, pcm, aiff, flac, etc.

Au-delà de la conversion, il permet également d’avoir de la compression sans pertes, de l’extraction audio depuis une vidéo, de la conversion par lots (très pratique !!) ou encore de la modification du nombre de FPS de vos vidéos.

Et pour suivre vos conversions, y’a même une section « Monitoring » pour visualisation la conso de RAM, de CPU et de bande passante en temps réel.

Voilà, si ça vous dit, vous trouverez plus d’infos ici.

Je ne sais pas si vous trainez sur Twitter, depuis qu’Elon en a pris la (mauvaise) direction, mais en ce qui me concerne, j’étais là avant lui, et je serai là après lui. Donc je reste sur Twitter malgré sa faune parfois un peu glauque.

Mais ça ne m’empêche pas d’être également présent sur Bluesky et Mastodon, même si je ne les utilise pas vraiment. J’essaye quand même d’y partager mes articles. D’ailleurs, pour Bluesky, je me suis fait une moulinette en python, qui me permet d’y automatiser le post de mes articles de blog avec l’aide de ChatGPT pour que ce soit encore plus naturel.

Mais si vous ne voulez pas trop vous prendre la tête, y’a Louis Grasset qui a mis en ligne Touitomamout (Jeu de mots ^^ : Tweet To Mammouth). Il s’agit d’un outil qui peut s’installer sur votre machine / serveur / docker et qui permet de faire du cross-post depuis Twitter vers Mastodon et / ou Bluesky. En plus des messages textes, des images, des vidéos ou encore des gifs animés, l’outil permet même si vous le désirez de synchroniser l’entièreté de votre profil (nom, avatar, bannière, description).

Pour le faire tourner dans Docker, c’est easy. Il vous suffit de créer un docker-compose.yml et de mettre ça dedans :

version: '3.9'

services:
  touitomamout:
    container_name: "touitomamout"
    image: louisgrasset/touitomamout:latest  # Or "ghcr.io/louisgrasset/touitomamout:latest"
    restart: unless-stopped
    environment:
      - ENV_FILE=/data/.env
      - STORAGE_DIR=/data
    volumes:
      - ./data:/data

Puis de lancer la commande suivante :

docker-compose up -d

Et voilà de beaux comptes de réseaux sociaux bien synchronisés. Bravo Louis !

La prochaine évolution de Windows 11 est prévue au second semestre. Microsoft travaille sur Windows 11 24H2. Une mauvaise nouvelle apparait.

Cet article Windows 11 24H2 va-t-il exiger un processeur compatible SSE4.2 ? a été publié en premier par GinjFo.

Yes, I know: I’m writing about yet another system monitor extension for GNOME Shell — I’m sorry; I’m not obsessed, I promise! But I couldn’t not cover this one since it was only released today (yesterday depending on your timezone), and the moment I tried it out and saw everything it does (and does so well) I just HAD to write about it. Why? Because compared to the others I’ve written about in past few months this one sits at the complete opposite end of the stat-monitoring scene. Astra Monitor is All-Frills To quote the project Github: “Astra Monitor is […]

You're reading Another System Monitor Extension for GNOME — But This One’s Epic, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without permission.

… et en moins de 10 lignes de code.

Mon problème était de rendre simple l’export de données stockés dans un outil web (SQL + PHP + JS) en fichier Excel.
Au départ, j’avais proposé une production de code CSV, que l’utilisateur devait copier-coller dans Excel, puis fait quelques manips pour qu’Excel ne voie pas une plâtrée de texte, mais du CSV (chose que LibreOffice fait tout seul).

Mais c’était trop compliqué.

Le mieux que j’ai trouvé ensuite, c’est de produire un tableau dans la page web, en HTML, puis sélectionner le contenu, le copier, et prier pour qu’Excel détecte ça comme un tableau et redistribue ça dans les bonnes cellules.

Mais c’était ni assez simple, ni suffisamment fiable.

Du coup j’ai pondu un système avec un bouton : on clique dessus et ça ouvre Excel (.xls) directement avec le contenu du tableau.

Bien plus simple.

Prérequis

Le tableau de données doit être produit en tant que tableau HTML. Le tableau n’a pas besoin d’être dans la page. Cela peut être un objet DOM quelque part.
L’astuce ici fonctionne donc que le tableau soit dans la page, en mémoire, ou bien produit à la volée à partir des données brutes au moment du clic.

Le fait de l’afficher dans la page permet cependant de montrer le tableau avant de le proposer au téléchargement.

Fonctionnement

Un fichier Excel reste du simple XML. Il suffit de prendre les entêtes d’un fichier .xls et de mettre le tableau HTML en dessous. Ensuite, on récupère tout ça sous forme de base64, on force le navigateur à télécharger ça.

Code

Le HTML

<button type="button" onclick="tableToExcel(ID_TABLEAU)">Export to Excel</button>

<table id="ID_TABLEAU">
    …
    …
</table>

Le JS :

function tableToExcel(table_ID) {
	var template = '<html xmlns:o="urn:schemas-microsoft-com:office:office" xmlns:x="urn:schemas-microsoft-com:office:excel" xmlns="http://www.w3.org/TR/REC-html40"><meta http-equiv="content-type" content="application/vnd.ms-excel; charset=UTF-8"><head><!--[if gte mso 9]><xml><x:ExcelWorkbook><x:ExcelWorksheets><x:ExcelWorksheet><x:Name>Worksheet</x:Name><x:WorksheetOptions><x:DisplayGridlines/></x:WorksheetOptions></x:ExcelWorksheet></x:ExcelWorksheets></x:ExcelWorkbook></xml><![endif]--></head><body><table>{table}</table></body></html>';
	var table = document.getElementById(table_ID).innerHTML;
	var xml_table = template.replace(/{table}/g, table);
	var base64_xml_table = window.btoa(unescape(encodeURIComponent(xml_table)));
	window.location.href = 'data:application/vnd.ms-excel;base64,' + base64_xml_table;
}

Je n’ai pas dit que c’était propre, mais ça marche.

Petite amélioration

Ici, le nom du fichier est plus ou moins une chaîne aléatoire. On peut changer ça, en utilisant un lien plutôt qu’un bouton : le bouton modifie l’URL de la page, mais avec un lien on peut actionner le téléchargement directement, avec l’attribut download.

Et si on veut juste garder l’apparence du bouton, on peut simplement mettre le lien autour du bouton :

<a href="#" download="tableau.xls"  onclick="tableToExcel(this, 'ID_TABLEAU')"><button>Export to Excel</button></a>

<table id="ID_TABLEAU">
    …
    …
</table>

function tableToExcel(link, table_ID) {
	var template = '<html xmlns:o="urn:schemas-microsoft-com:office:office" xmlns:x="urn:schemas-microsoft-com:office:excel" xmlns="http://www.w3.org/TR/REC-html40"><meta http-equiv="content-type" content="application/vnd.ms-excel; charset=UTF-8"><head><!--[if gte mso 9]><xml><x:ExcelWorkbook><x:ExcelWorksheets><x:ExcelWorksheet><x:Name>Worksheet</x:Name><x:WorksheetOptions><x:DisplayGridlines/></x:WorksheetOptions></x:ExcelWorksheet></x:ExcelWorksheets></x:ExcelWorkbook></xml><![endif]--></head><body><table>{table}</table></body></html>';
	var table = document.getElementById(table_ID).innerHTML;
	var xml_table = template.replace(/{table}/g, table);
	var base64_xml_table = window.btoa(unescape(encodeURIComponent(xml_table)));
	link.href = 'data:application/vnd.ms-excel;base64,' + base64_xml_table;
}

Exemples

Exemple sur Codepen.io.

Notes et limites

Une des limites est que les styles ne sont pas forcément pris en compte. Les dispositions des cellules (rowspan et colspan) semblent bien fonctionner systématiquement, du moment que le tableau est en HTML et pas reconstitué avec du CSS (display: table-cell, ou encore avec des grid), mais les couleurs et autres formatages ne sont pas garanties.

Un autre problème peut survenir quand les tableaux sont vraiment très grands. Je ne sais pas si les navigateurs mettent une limite sur le contenu d’un href, mais ce n’est pas exclu non plus.

Image d’en-tête produite par Bing AI

Laissez-moi vous présenter HopToDesk, une solution de bureau à distance, qui est non seulement gratuite, mais également disponible sur toutes vos plateformes préférées, notamment Windows, Mac, Linux, Android, iOS et Raspberry Pi.

Vous avez peut-être déjà dû dépanner un membre de sa famille totalement noob, à l’autre bout de la France ?

Ou alors vous vous êtes retrouvé coincer en vacances sans pouvoir accéder à un document important resté sur votre ordinateur de bureau ?

La galère !

Mais ça c’était avant car maintenant, vous connaissez HopToDesk.

HopToDesk est conçu pour être sécurisé avec un chiffrement total du trafic réseau, ce qui garantit que toutes les données transférées entre les périphériques sont protégées et ne peuvent pas être interceptées par des criminels trop curieux.

Edit : Thibault, lecteur de Korben.info, vient de me signaler que HopToDesk était un fork complet de RustDesk dont je vous ai déjà parlé. Toutefois, les deux projets ne semblent pas en bon terme puisque HopToDesk aurait repris à son compte le code de RustDesk sans les mentions de licence d’usage. Vous trouverez plus d’infos ici et là.

Il est également doté d’un chat en direct, ce qui signifie que vous pouvez discuter avec vos collègues ou amis directement depuis le logiciel, facilitant ainsi la collaboration et la résolution rapide des problèmes.

Une autre fonctionnalité intéressante de HopToDesk est le transfert de fichiers qui permet de transmettre des documents entre votre ordinateur local et celui auquel vous accédez à distance. Comme ça, plus besoin de vous galérer à passer par un service de stockage en ligne.

Pour tester ça, rendez-vous simplement sur le site officiel de HopToDesk et télécharger l’application pour votre plateforme préférée (Mac / Windows / Linux / Android / iOS…etc.).

Considering you already follow us, we have your back for the most essential Linux requirements.

However, when it comes to Linux, there is always something to learn, even for all the Linux experts out there. 👨‍💻👩‍💻

So, there are some websites and blogs that are helpful for both newbies and experienced Linux users.

Let me list some of the best options for you to bookmark.

1. ArchWiki

ArchWiki is a platform for all kinds of information. Whether it is about a tool, a security technology, an installer, a desktop environment, or anything else, you can find insights about it on ArchWiki.

Technically, it serves as the documentation portal for the Arch Linux distribution. However, you can find tutorials, guides, FAQs, and other essential information regarding numerous things to help you even if you do not use Arch Linux.

The information is well-presented, thoroughly reviewed/updated, and easy to read.

2. Explainshell

Explainshell is an interesting portal that helps you identify the arguments used in a command in one go.

Usually, you search for manpages or information on commands separately. Explainshell should accelerate the process to get you the information needed along with the link to its manpage.

Primarily, it displays information sourced from Ubuntu's manpage repository. So, whether you are installing a software, working on a Git commit, connecting to SSH, you can break down all the commands using Explainshell.

3. Crontab.guru

If you create cron jobs and schedules to automate things, Crontab.guru is a handy website.

You can just enter the expression that you intend to use in your cron job, and get details if it will work as you expect. For correct expressions, it will reflect the schedule you want to set with the cron job.

As a bonus, even if you are new to cron jobs, it will highlight which is the month/day/week field in the editor.

If it looks correct to you, proceed or edit it to rectify and use it.

Suggested Read 📖

What is a Cron Job in Linux?

In this part of our Linux Jargon Buster, you’ll learn about cron in Linux. You’ll also learn the basics of creating cron jobs by editing crontab.

It's FOSSHunter Wittenborn

4. Distrowatch

Distrowatch is one portal every Linux user may already know. It is popular for listing trending Linux distributions. Some even consider the popularity chart to see if their favorite distribution ranks higher than others.

You can get updates on the latest distribution releases, ones that you may not have heard ever before, along with a summarized changelog for new releases.

If you subscribe to its newsletter, they also publish distro reviews and cover some development news. For users looking to keep up on the latest distributions, this is your bookmark.

5. Phoronix

Phoronix is one of the oldest Linux websites out there with the best hardware-focused content.

Whether you are looking for a benchmark on Linux with the latest processor or a distribution's performance, Phoronix has it. You also get a regular dose of news and development updates in the Linux world as an extra.

6. Ubuntu Blog

Canonical's blog is all about Ubuntu, its developments, enterprise updates, and other technological advances.

If you want to keep up with everything around Ubuntu, the Ubuntu Blog is the best place to have bookmarked. Whether you are an IoT enthusiast, or a robotics engineer making use of Ubuntu, there's always something happening.

And, to be honest, you can never get all these updates from any particular blog considering Ubuntu is everywhere.

Suggested Read 📖

10 Best Ubuntu Blogs to Follow

Want to explore Ubuntu and Linux focused blogs? Here are the ten best options!

It's FOSSAbhishek Prakash

7. GamingOnLinux

While we do cover some gaming updates and have a gaming guide for you, GamingOnLinux is the ultimate portal for everything on Linux gaming and Steam Deck.

Whether it is about a development change, a new game, SteamOS releases, SteamVR, or a sale that could matter to Linux users, you can find all about it.

8. /r/Linux on Reddit

Even though Reddit is no longer the place it used to be, the Subreddits are still worth a follow.

The Linux subreddit is a community to bookmark for the latest happenings in the open-source and Linux universe. You may not find the fellow Redditors as friendly as one would expect, but as long as you want to keep an eye on updates, a bookmark suits it.

What Do I Keep Bookmarked?

I love Phoronix's hardware insights and Distrowatch's updates on newer distro projects. So, those two websites are always in my bookmark list.

What should you have bookmarked?

Well, if you are a desktop user using Ubuntu, Canonical's blog should be great to keep up with newer releases and explanations on newer features. For a gamer, GamingOnLinux is a one-stop portal.

In case you are always curious and want to know how things work/what it is - ArchWiki should be your go-to reference.

Of course, for all things Linux, we try our best not to disappoint you. So, do not forget to bookmark us as well!😉

💬 What are your favorite websites to bookmark? Let me know in the comments down below!

LibreOffice comes preinstalled in Ubuntu.

However, if you opted for the minimal Ubuntu install, removed it for some other office suite, you can easily install it using this command:

sudo apt install libreoffice

That's fine. But the LibreOffice version provided by the Ubuntu repository may not be the latest one.

If you are hearing about a new LibreOffice version release, most likely, you won't be getting the new release. That's because Ubuntu keeps it on a stable release.

And that's fine for most users. However, if you are not 'among most users' and you like to get the latest LibreOffice in Ubuntu, you can totally do that.

There are two ways to do that:

• Use official PPA (recommended)
• Download deb file from LibreOffice

Let's see them one by one.

Method 1: Install latest LibreOffice via official PPA (recommended)

You can use the official “LibreOffice Fresh” PPA to install the latest stable release of LibreOffice on Ubuntu based distributions.

The PPA provides the latest stable release of the LibreOffice, not a development release. So, this makes it the ideal choice to get the newer LibreOffice version on Ubuntu.

You don’t even need to uninstall the previous version using this method. It will update the existing LibreOffice to the newer version.

sudo add-apt-repository ppa:libreoffice/ppa
sudo apt update
sudo apt install libreoffice

Since you are adding a PPA, you'll also get updates on the newer version installed this way.

Method 2: Get the binaries from the website (if you want)

You can always go to the download section of the LibreOfiice website and download the deb file of the latest version. You'll also see the option to download an older but LTS stable version.

I believe you already know how to install applications from a deb file. Right click on the deb file, select to open it with Software Center. Once in software center, you can click the install button to install it.

Conclusion

The downside of the second method is that if there is an update, you'll have to download the deb file again, remove the previous LibreOffice version and install the new version with the newly downloaded deb file.

In contrast, the PPA gives you update automatically with the system updates. That's the reason why I recommend the PPA, specially when it is maintained by the LibreOffice team itself.

By the way, here are some tips on getting more out of LibreOffice:

15 LibreOffice Tips to Get More Out of it

LibreOffice is an excellent office suite. These LibreOffice tips will enable you to use it more effectively.

It's FOSSAbhishek Prakash

I hope this quick tip helped you get the latest LibreOffice on Ubuntu-based distributions. Let me know if you have questions.

If you have installed Windows 11 on a PC that does not meet the system requirements, you'll end up with roadblocks each time Microsoft releases a new feature update. Regular updates installed fine up until now, but feature updates will check the system requirements before installation.

Microsoft released Windows 11 2023 Update yesterday and it is not offered on devices with unsupported hardware. If you check Windows Update on an unsupported device, you will notice that nothing is being offered.

This leaves other installation options as the only way to install the latest feature update on the Windows 11 PC. Thankfully, there is a method to bypass the restrictions to install the Windows 11 2023 Update on unsupported devices.

Since Windows Update is not working, it is necessary to use a Windows 11 ISO instead. The following steps walk you through the process of downloading the latest Windows 11 ISO image from Microsoft, modifying the system to bypass requirement checks, and to use it to upgrade the system to Windows 11 version 23H2.

Update: There is an even easier solution. Here are the steps:

1. Make sure that the October 2023 Preview update or a later update is installed on the device. This should be offered via Windows Update when you run a manual check for updates.
2. Download the Enablement update for the Windows 11 2023 Update from here.
3. Double-click on the download and follow the instructions to install the update.
4. Restart the PC.

Windows 11 version 23H2 is installed on the device, even if it is has incompatible hardware. End

Download the latest Windows 11 ISO

While there are several options to obtain the latest Windows 11 ISO, one of the better ways to do it is from Microsoft's website.

Visit the Download Windows 11 website on Microsoft's website to get started. Activate the "download now" button under Create Windows 11 Installation Media. This downloads the mediacreationtool to the local system. Run the program on the local system and follow the on-screen wizard. You can keep everything as is, but need to select ISO file when asked "choose which media to use".

The download has a size of about 4 gigabytes and you end up with the latest Windows 11 ISO on the system.

Note: Microsoft admitted that the Windows 11 Installation Media tool may not produce a Windows 11 2023 Update ISO at the time for users. You can use the "Download Windows 11 Disk Image (ISO) for x64 devices" beneath to download the ISO image.

Modifying the system to bypass hardware checks

Open File Explorer and go to the location that you have downloaded the Windows 11 ISO to. Double-click on the ISO image to mount it on the system. This displays all of its files and folders in File Explorer.

Visit the MediaCreationTool.bat GitHub repository. We need to download a batch file from the repository that applies bypasses to the system so that Windows 11 is not checking hardware requirements when running the setup.

Select the bypass11 folder on the repository and then the Skip_TPM_Check_on_Dynamic_Update.cmd there. Select the download icon to save the file to the local system. You can also access it here directly.

Once done, right-click on the downloaded file and select run as administrator. Windows 11 may throw a SmartScreen warning prompt. Select "more info" and then "run anyway" to run the script and make the necessary changes on the device.

Go back to the mounted Windows 11 ISO and run setup.exe. Make sure you disable the checking for updates on the first page of setup. The upgrade to the latest version of Windows 11 should now commence as if the system is meeting all hardware requirements.

If not, you may want to repeat the steps outlined above. You could also disable the Internet connection before running setup to make sure that the installer is not connecting to Microsoft servers.

Thank you for being a Ghacks reader. The post How to upgrade to Windows 11 2023 Update on unsupported hardware appeared first on gHacks Technology News.

When you install Windows 11, you may be prompted to select how you plan to use the device. Called Device Usage, it is a relatively new feature.

Windows 11 displays several options during the out-of-box experience (OOBE), including gaming, development, business or school, and it is up to you to make the selection. This can be skipped, and there is a good reason why you may want to skip making any selection here or at any time in the Settings.

Microsoft uses the information to show "personalized tips, ads, and recommendations within Microsoft experiences" when Device Usage is configured by users of the operating system.  The operating system may suggest applications or services based on the selection, and may also show ads based on this.

The personalization is not unique, but it is not shared with third-parties according to Microsoft. You are not limited to selecting one or two of the device usage options; you can select them all, theoretically.

The company writes:  "When you make your selections in Device usage settings, we might offer personalized tips, ads, and recommendations within Microsoft experiences based on the way you plan to use your device. You can opt out or change your device usage options any time in the Settings app on Windows. We do not share this data with third-party"

Microsoft gives a few examples on this support page. Users might be offered "an Xbox Game Pass trial" if they select gaming, might get a suggestion to "use Dev Home" to set up the PC for development, or "pinned app suggestions for entertainment apps and sites" when Entertainment is selected.

It boils down to suggesting apps, ads or services to the user. Note that this may change in the future, e.g., so that truly useful changes are made to the system when users make selections. For now, this is not the case or easily done manually.

Tip: you may also be interested in disabling ads from Diagnostic Data and Lock screen ads.

Disabling Device Usage settings

If you have configured Device Usage during initial setup of the Windows 11 operating system, then you may reset the selection. This is done in the Settings application.

Here is a step-by-step guide to do so:

1. Select Start and then Settings to open the Settings app. Press Windows-I alternatively to open the Settings app.
2. Go to Personalization > Device usage.
3. Toggle all options on the page to Off.

A restart of the system may be required to complete the process.

Closing Words

Device Usage is yet another feature of the Windows 11 operating system that is mostly used to promote services and apps to the user. The feature lacks true personalization options, e.g., applying a list of customizations based on the selection.

For now, Device Usage is limited and it doesn't look as if Microsoft is going to improve the feature anytime soon.

Now You: how do you use your devices?

Thank you for being a Ghacks reader. The post Don't fall for Windows 11's Device Usage feature: how to turn it off appeared first on gHacks Technology News.

Si vous êtes contraint de bosser uniquement sur de la data stockées dans des fichiers CSV, voici un utilitaire qui va vous faire gagner pas mal de temps.

QueryCSV est une application en ligne de commande qui permet d’interroger des fichiers CSV en utilisant une syntaxe similaire à SQL. Disponible pour divers systèmes d’exploitation, cette appli vous permet d’extraire des données spécifiques à partir de n’importe quel fichiers CSV en utilisant tout simplement des requêtes.

Prenons par exemple le cas où vous avez un fichier CSV contenant des données de ventes et que vous voulez savoir combien d’unités d’un produit spécifique ont été vendues dans une certaine région. Avec QueryCSV, il vous suffit d’exécuter une requête en ligne de commande pour obtenir rapidement les informations dont vous avez besoin.

Pour ceux qui s’intéressent aux fichiers CSV et à leur manipulation, sachez que l’auteur de QueryCSV a également créé différentes versions pour divers systèmes d’exploitation même les plus anciens, et qu’il a ajouté la conversion entre Unicode et les jeux de caractères pour chacun des systèmes cible.

Pour utiliser QueryCSV sur votre propre machine, vous pouvez consulter le dépôt GitHub du projet et télécharger la version correspondante à votre système d’exploitation. Une fois téléchargée, vous pouvez commencer à exécuter des requêtes sur vos fichiers CSV.

Voici un exemple de csv contenant une liste d’employés et leur âge :

Nom, Département
Rafferty,31
Jones,33
Heisenberg,33
Robinson,34
Smith,34
Williams,""

Et un departments.csv avec le contenu suivant :

DépartementID,DépartementNom
31,Ventes
33,Ingénierie
34,Personnel de bureau
35,Marketing

Créez ensuite un fichier appelé getEngineers.qry qui sera utilisé pour la requête et spécifiez y les données que vous souhaitez récupérer avec la jointure qui va bien. Ici on cherche a lister le nom des employés avec leur service :

select a.lastName as surname, b.DepartmentName as department
from 'employees.csv' as a
join 'departments.csv' as b on b.DepartmentID = a.DepartmentID
where a.DepartmentID = 33

Enfin, en ligne de commande, exécutez la requête sur les fichiers de données à l’aide de la commande suivante :

querycsv getEngineers.qry

Et voilà, vous obtiendrez alors un résultat semblable à celui-ci :

nom de famille, département
Jones, Ingénierie
Heisenberg, Ingénierie

Plutôt cool non ?

N’hésitez pas à essayer QueryCSV en cliquant ici ! Gain de temps assuré !

Here’s a tip for those of you who want to use a custom icon for a specific folder in Ubuntu. — And no, you don’t need to install a new icon set to do it. While there are tons of great icon themes for Ubuntu (and other Linux distros) I think replacing ALL icons to change the look of a single folder is a touch dramatic (the irony of a site named omg saying that, right? 😝). Over on macOS — no booing or hissing please — users can change any app or folder icon from the Get Info panel […]

This post, How to Change Individual Folder Icons on Ubuntu is from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without permission.

Microsoft's Windows 11 operating system may show suggestions as popups regularly on the computer using the notification's system. Initially designed to give users tips and suggestions on improving workflows with Windows 11, the suggestions system has been turned almost entirely into an advertising system that promotes Microsoft services and products.

Suggested popups may advertise Microsoft 365 subscriptions to the user, suggest to link Android phones to the device, or set up a backup solution.

If these popups annoy you, you may tweak the system to disable them entirely. The following guide provides step-by-step instructions on disabling popup suggestions on devices running Microosft's Windows 11 operating system.

The popups are displayed for about 5 seconds in the lower right corner of the computer screen by default. You can click on date/time to check it again in the Notifications section under Suggested.

How to get rid of popup ads in Windows 11

The very first thing you may want to do is disable tips and suggestions. This can be done in the Settings app of the operating system. Here are all the steps to do that:

1. Open the Start Menu with a click on the Start button and select Settings. If Settings is not displayed, type Settings and select the result to load it. You may also use the keyboard shortcut Windows-I instead to bring up Settings right away.
2. Go to System > Notifications.
3. Scroll down to Notifications from apps and other senders.
4. Locate "Suggested" there and toggle its status to Off.
5. Once done, scroll down all the way to the bottom and expand "Additional Settings" with a click.
6. Uncheck the boxes of all three options that you find there.

These are:

• Show the Windows welcome experience after updates and when signed in to show what's new and suggested.
• Suggest ways to get the most out of Windows and finish setting up this device.
• Get tips and suggestions when using Windows.

Note that you may also disable suggestions from other programs. Windows lists all programs that are allowed to display notifications on the Settings page.

You can toggle any to off there, or even disable notifications entirely if you prefer that. Another option that you have is to click on any of the programs and features there to customize the experience.

Here, you may make the following changes. Note that these apply to the selected program or service only.

• Turn off notifications entirely.
• Disable the ability to show notification banners on the screen.
• Disable the ability to show notifications in the notification center.
• Show/hide content when notifications are on the lock screen.
• Allow app to send important notifications when do not disturb is on.
• Play a sound when a notification arrives.

You could disable the showing of banners on the screen only to keep getting notifications from the app or service, but in a less intrusive manner.

Group Policy and Registry configuration

System administrators may disable these notification banners using policies. Note that the Group Policy Editor is only available in Pro, Education and Enterprise editions of Windows 11. Home users may make the change in the Registry directly.

1. Open the Start Menu, type gpedit.msc and select the item from the list of results.
2. Use the hierarchy on the left to go to Computer Configuration > Administrative Templates > Windows Components > Cloud Content.
3. Double-click on "Do not show Windows tips".
4. Set the preference to Enabled.
5. Click ok to close the window.
6. Close the Group Policy Editor.
7. Restart the PC.

Here is the same tweak in the Windows Registry:

1. Open the Start Menu, type regedit.exe and select the Registry Editor result.
2. Paste the following path into the address field: HKEY_CURRENT_USER\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion\ContentDeliveryManager
3. Locate SubscribedContent-338389Enabled on the right side.
   1. If you don't see the Dword, right-click on ContentDeliveryManager and select New > Dword (32-bit) Value.
   2. Name it SubscribedContent-338389Enabled.
4. Double-click on SubscribedContent-338389Enabled and change the value to 0.
5. Close the Registry Editor.
6. Restart the PC.

Thank you for being a Ghacks reader. The post How to turn off advertising popups in Windows 11 appeared first on gHacks Technology News.

Depuis plusieurs années – au moins depuis 2020 – je me suis plongé dans le merveilleux monde du rétroludique. J’ai ainsi utilisé de nombreux émulateurs pour simuler le fonctionnement des ordinosaures les plus célèbres.

Voici donc un petit guide pour savoir quel émulateur utiliser pour quelle machine. La plupart du temps, ce sont des émulateurs multiplateformes, sauf contre indication. Je n’ai pas essayé tous les ordinosaures, la liste sera donc incomplète.

• Pour les ordinateurs Commodore 8 Bits (PET, Vic20, C64, C128, Plus/4 et C16) : Vice.
• Pour les ZX80, ZX81 et autre ZX Spectrum : Zesarux
• Pour l’Amstrad CPC/CPC+ : Retro Virtual Machine
• Pour l’Oric 1/Atmos : Oricutron. Pour Linux, il faut se replier sur le dépôt github du projet.
• Pour les ordinateurs Atari 8 bits : Atari 800.
• Pour l’Apple II : AppleWin et son port pour Linux.
• Pour les jeux MS-DOS : Dosbox-X, un fork de Dosbox qui proposent une interface à base de menus déroulants.

Je pense que j’ai couvert ici 80% des besoins en émulation. N’hésitez pas dans les commentaires à rajouter d’autres émulateurs pour d’autres ordinosaures que je n’ai pas listé ici.

Je n’ai mis aucun ordinosaure 16/32 bits pour la simple et bonne raison que ce ne sont pas des ordinateurs que j’apprécie outre mesure. Voila, voila, voila !